Les arbres poussent vers le haut, ils cherchent un point d’équilibre entre leurs têtes et leurs racines. Leurs masses s’arrachent du sol et leurs branches vont chercher vers le ciel une place que la gravité terrestre leur discutera…
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Les arbres poussent vers le haut, ils cherchent un point d’équilibre entre leurs têtes et leurs racines. Leurs masses s’arrachent du sol et leurs branches vont chercher vers le ciel une place que la gravité terrestre leur discutera…
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Retards dans les soins d’urgence et mortalité, durant les principaux marathons aux USA
Il y a des études sur tout. Parfois on aimerait en avoir sur certains sujets, mais elles manquent. Parfois, on en trouve qui surprennent, et qu’on n’aimerait pas vraiment lire. Pourtant, on ne peut qu’en apprécier le bon sens, élément souvent absent d’analyses trop rapides.
Le Journal de Médecine de Nouvelle Angleterre, publie une étude sur la corrélation entre l’organisation de marathons dans de grandes villes US, et l’impact de ces courses sur les secours médicaux demandés par les habitants vivant dans le périmètre d’organisation des épreuves.
Les courses impliquent très basiquement, de bloquer la circulation de quartiers entiers, pendant plusieurs heures, et de plus, elles sont organisées dans des zones proches des hôpitaux urbains, le plus souvent localisés dans des lieux très proches des centres villes.
Le trafic sanitaire, qui ne peux s’arrêter à aucun moment, est donc paradoxalement bloqué par les épreuves. Le délai de transport étant plus long lors de ces journées, ceci augmente le nombre de décès à j+30j à partir de l’hospitalisation.
Les épreuves de masse, par leur effet d’osmose et la synchronicité de présence de milliers de personnes en pleine forme, sont par conséquent d’un coté très bénéfiques à l’animation des villes.
Mais malheureusement, elles nuisent sans le vouloir, en parallèle, à la qualité de desserte de certaines de leurs fonctions organiques, comme l’une des plus basiques, celle de la santé.
La saison nous apporte un ciel dégagé, sec, sans brume… Au détour d’un virage du pays voironnais, au fin fond de la scène, le Mont-Blanc, à environ 150 km de distance à vol d’oiseau.
Le toit de l’Europe est avant tout une montagne qui impose une masse que l’on peut voir de très loin…
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Cette galerie contient 15 photos.
Un piéton est précédé par des formes imprimées au sol: têtards, poissons, baleine, molusques géants, mais aussi empreintes de pieds se rapprochant à de bancs de poissons… Lire la suite